Le journal d'un diamant. đź“”

Un endroit ou j'exprime simplement ce que j'ai envie.

Depuis un petit temps, j’ai l’impression que quelque chose à changer en moi, quelque chose qui ne serre pas forcément, mais que je prends conscience que ça se produit. C’est extrêmement débile ce que je vais écrire mais ça fait longtemps que je n'avais pas écrit quelque chose ainsi et je pense que j’en ai le besoin d’écrire un peu dessus.

Depuis un temps, j’ai l’impression de beaucoup plus assumer qui je suis, mes gouts, mes passions... J’ai l’impression d’être moins introvertie dans ce qui est de certains trucs et j’ose un peu plus m’affirmer et me montrer. Je dis ça comme ci c’était quelque chose d’extraordinaire alors que c’est vraiment très banal et que même j’en suis “qu’à mes débuts” et qu'il y a encore beaucoup de choses que je garde en moi que je pourrais partager mais que j’ai encore beaucoup de mal.

Dernièrement, y a eu plusieurs suites d’évènements qui font que vraiment je sens que je m’assume. Je ne peux pas tout dire évidemment, y a des choses que j’ai envie de garder sa privée, mais y a des choses même insignifiantes qui me font beaucoup changer mon état d’esprit et juste de m’ouvrir et d’assumer.

Je pense que l’élément le plus influent qui me viennent en tête sont une grande phase ou je suis auquel, je me replonge beaucoup dans les animés, et aussi des animés que je regarde, tout en participant activement (en anglais) à une communauté sur ces sujets-là.

Les animés, je n'en regarde pas beaucoup comparée à une personne qui peut en regarder des centaines par an, l’année dernière, j'ai regardé environ 150h d’animés, ce qui est dans un sens beaucoup mais dans un sens peu quand je regarde parfois ce que des ravagés dans le genre peuvent faire. Mais je suis dans une période ou je me suis plutôt bien replongée dedans récemment, que ce soit seule ou avec ma chérie. De base je regardais des animés quand ça passais à la télé lorsque j’étais petite et avec l’arrivée de Pokémon Journeys sur Netflix en 2019, j’ai décidé de me replonger dedans, aujourd’hui, je commence à regarder une variété d’animés (et toujours Pokémon) et plus j’en regarde, plus je prends conscience que, j’aime ça d’une partie évidemment, mais que ça me change et que je veux en parler aux gens.

C’est pour ça que depuis un temps, premièrement en me forçant un peu, j’ai commencé d'être social et progressivement active sur Anilist, un site anglophone qui sert et de tracking pour suivre ses progressions de ce que tu regardes et tout, mais également d’un espace communautaire pour discuter de tout et de rien (mais surtout d’animés) avec d’autres weebs.

Et, je m’y plais beaucoup. C’est extrêmement rare (si ce n’est peut-être la première fois) que je m’investis autant dans une communauté si vaste sans forcément avoir trop peur et de tout garder pour moi. Je sais que la, je passe pour vraiment quelqu’un de pas normal à écrire ça à 22 ans (je ferais un bon perso principal dans un Slice of life d’un étudiant asocial introvertie qui découvre le monde xd) mais j’aime beaucoup ce qu’il se passe en ce moment, j’ai l’impression un peu de me libérer et de juste profiter d’une passion avec des gens et d’assumer ma passion. Certains animés que j’ai regardés m’ont beaucoup aidée aussi à m'inciter à être active sur Anilist et d’assumer ma passion. J’ai par exemple, en tête Komi can’t communicate ou encore Kuma kuma kuma bear pour citer seulement quelques-uns. (Évidemment, y a Pokémon horizons aussi mais si je commence à en parler, j’en ai pour 8 ans.)

Une autre chose qui m’aide à assumer aussi un peu, c’est extrêmement récent, c’est honkai StarRails. Fût un temps, j’aurais 100% été dans le dénie en disant que je n’aime pas ce jeu même si j’y joue comme je l’ai été pour Fortnite par exemple, parce que j’avais (j’ai toujours, mais moins qu’avant) peur que mes gouts, mes avis, qu’importe, “tâche à mon image”, là ou en fait, avec tout ce que j’ai écrit plus haut, je me rend compte que c’est tout simplement stupide car dans le monde, sauf si tu es influenceur ou quoi, il n’y a que soi-même qui se fou de ton image, car tes proches, tes connaissances, ils savent ce que tu es même si tu nie tout en bloc et les inconnus ne te connaissent même pas, ils vont juste te sortir un “ptdr t ki?”

C’est peut-être insignifiant pour vous, mais pour moi je considère ça comme un grand pas. Je sais que pour beaucoup c’est ridicule, je m’en fou. La prochaine étape va être de trouver comment finir mes lettres ouvertes, parce que la j’ai aucune idée de comment finir.

Alors, merci d’avoir lu? à dans 12 ans pour la prochaine lettre ouverte. XD

#LettreOuverte

Ce n’est pas pour rien que pleurs rime avec seule.

Pour une personne comme moi-même, Auquel ses proches sont sa raison de vivre, Se sentir seule, inexistant, inutile, N’est qu’un fléau, une grande haine.

La solitude rimes avec torture, Les pleurs rimes avec être seule, Donc solitude rimerait avec pleurs, Et torture avec le fait d’être seule ?

Pour une personne ayant passée, A ce jour une grande majorité, De temps de vie dans la solitude, Ecrire ces mots ne sont que ridicule… Pourtant, l’effet est tout inverse, Je n’ai plus l’étiquette “solitaire”, Me retrouver dans l’ombre de mon passé, N’a pour effet que de m’appeurrer.

Peur que du jour au lendemain, tout s’arrête, Qu’à chaque seconde, mes proches disparaissent, De sombrer dans la noirceur de mon ombre, De finir noyer dans une marée profonde.

J’ai tellement peur de perdre mes proches, Qu’à chaque faux pas, je me morfonds.

J’ai tellement peur de perdre mes proches, Qu’à chaque blessure, c’est l’hécatombe. Je veux être là pour eux, les aiders, Passer du bon temps, tel notre amitié, De les supporter, les encouragers, les réconforter, De juste voir leurs sourires illuminer ma journée.

Mais, quand je suis seule, quand personne n’est disponible, Leurs sourires, les bons temps, les réconforts me sont que futiles, Car il suffit que je ne puisse pas être là pour eux pour me sentir si inutile.

Inutile de ne pas être là à leurs côtés, Inutile de ne pas pouvoir les réconforter quand on me cache pour me protéger, Inutile au point d’écrire des milliers de pavés pour me sentir mieux quand il suffit de patienter, Inutile au point d’être chiante à forcer parce que je ne suis pas foutu de résister.

Résister à mon passé, Résister à mes peurs, Résister à mes pleurs, Car je ne suis que, seule.

Et tout ça n’apporte quoi ? Tout ça n’apporte que de la haine.

Haine d’être une personne qui force sans le vouloir et qui met mal à l’aise mes proches. Haine d’être une personne qui n’arrive pas à laisser de l’espace quand c’est nécessaire. Haine d’être une personne qui a juste besoin d’attention car pendant toute sa jeunesse, elle n’en a eu aucune. Haine de ne pas savoir et pouvoir vivre seule, d’avoir constamment le besoin d’avoir un recueil.

Bien que l’on peux me qualifier d’attentionnée, généreuse, gentille, Malgré moi, je suis jalouse, oppressante, égocentrique.

Et je déteste ça. Je ne veux pas… plus de ça.

Ce n’est pas pour rien, Que seule, Rime avec pleurs.

Ce n’est pas pour rien, Qu’avoir un entourage, Rime avec soulage.

#Poème

Il y a des moments dans une vie ou tu es tellement profond que tu te demandes pourquoi tu existes encore, une vie ou chaque jour, tu soufres tellement intérieurement que ça peut tellement exploser à chaque seconde, et que tu te demandes tellement ce que tu as fait pour mériter d’être si profond que tu n’arrives même plus à pleurer tellement tes larmes ont été déversées.

Ce moment-lĂ , je plonge tellement dedans en ces temps.

La pire torture chez l’humain est la solitude, et la pire arme de torture pour arriver à cette solitude est la peur, et la phobie social…

Cependant, il y a quelque chose au dela de la solitude et la phobie social, quelque chose qui s’allimente tellement quand ces deux éléments se combine: la peur de perdre tes seuls proches, les seuls aliés, tes seuls remèdes que tu as pour ne pas sombrer et être plongée à jamais dans une solitude renfermée.

Cette peur, je l’ai toujours eu, cette peur, c’est le fléau de ma vie. C’est limite si le mot “torture” est un mot très gentille quand tu as ce couple de peurs, d’avoir peur à un point phobique des gens, et d’avoir peur que les seuls personnes que tu as pour ne pas sombrer dans la solitude disparaissent du jour au lendemain.

Sauf que dans mon cas, cette peur de perdre mes proches, c’est ce qu’il m’arrive actuellement. Cette peur de perdre des personnes si chère a ton coeur qui t’aides tellement à avancer dans la vie, qui te soutiennes tellement et que t’en es à un point ou ça en est ta “source de vie”, j’en confronte tellement les conscéquences, doublement.

Perdre un proche est quelque chose pour moi qui me met tellement mal. Avoir quelqu’un que tu as tellement discuter avec, qui t’as énormément aider à découvrir qui tu es, à t’aider à te sentir mieux, qui prennais tellement soin de toi, qui connaissais tellement tes goûts, tes passions, avec qui tu as tellement partagée de chose ensemble, avec qui tu tiens énormément à cette personne, et qui du jour au lendemain décide de te retirer de tes amis pour des raisons compréhensibles (et même importante) auquel il est important que tu les acceptes mais qui te met tellement dans le mal car cette personne te manques tellement et que tu voudrais tellement que tu la retrouve, que dans un future proche ou lointain, tu la retrouves, mais que dans l’heure actuelle, elle n’est plus dans ta liste d’amis… C’est tellement dur, c’est tellement dur à l’accepter et à vivre avec, c’est comme-ci on avais retirée une partie de ton coeur…

Mais j’essaye de me dire qu’un jour, je l’espère, je pourrais revoir cette personne et que tout sera comme avant, que ce sera juste temporaire, même si cette personne dis que c’est pour de bon…

Sauf que, au même moment, je dois faire face au fait de perdre un proche, et que cette fois-ci, il ne peut pas avoir de retour arrière… Un proche qui comptais beaucoup pour moi et qui compte toujours autant, auquel on passais énormément de bon moments, qu’on se partagais énormément de chose et qui aidais tellement au fait de ne pas se retrouver seule pendant un bon temps… Mais auquel aujourd’hui je dois vivre avec le fléau qui est que la vie est très souvent cruelle, très souvent un ennemie, très souvent injuste et triste, auquel la dure réalitée du fait que tu peux perdre une personne n’importe quand et que personne ne peux rien y faire, et auquel tu es forcée a accepter et vivre avec ce destin… Et que la seule chose que tu peux faire, et de passer du temps avec lui tant qu’il est encore temps, avant qu’il ne soit trop tard…

Pour quelqu’un comme moi,

Une vie humaine est tellement précieuse, et être proche de ces vies humaines les rendent encore plus précieuses. Les perdres me détruissent juste littéralement, surtout quand il s’agit de l’une des personnes qui compte le plus au monde pour toi, ou une personne auquel le destin est injuste et qu’il ne mérite tellement pas de partir…

J’aurais aimée retourner dans le passé, ne pas perdre ces personnes si précieuses à mon coeur, et juste vivre en boucle et ne jamais me soucier de ces peurs, de ne plus les vivres… C’est ce que je me disais au début…

Oui, je rêve de retrouver celle que j’ai perdue, et de ne pas perdre celui dont le destin et la vie en a décidé autrement, et de ne pas vivre tel une bombe explosive qui peut craquer à n’importe quel seconde…

Mais…

C’est la dur réalité qui faut faire face, c’est ainsi qu’est la vie…

Parfois la vie est remplie de couleur auquel tu passes les meilleurs moments de ta vie, mais des fois, ces couleurs s’effacent pour ne laisser place qu’à une tranche de couleurs monotone, triste… et sombre.

#LettreOuverte

Ce n’est pas pour rien que solitude rime avec torture.

Pour une personne comme moi, Auquel ses proches sont sa raison de vivre, Se retrouver seule, cela fait qu’on se noie, Dans une tristesse sans fin, tel explosive.

Dans mes pensées je me noie, Quand personne n’est avec moi.

Des pensées pas joyeuses, Des pensées désastreuses.

L’impression de perdre du temps, L’impression de faire les choses mal, Quand autrui est ta seule source de joie, Et qu’au lieu d’être là pour eux, tu passes ton temps, Dans des champs ravagés de torrents, Torrents de pluies de larmes coulantes, De ne pas être aux côtés de ceux qui t’animes, D’être juste là, Avec toi, Que tu n’aimes pas.

Je suis tellement heureuse quand je ne suis pas seule.

Je suis tellement malheureuse quand je me retrouve face Ă  moi-mĂŞme.

J’aime prendre soin des gens, voir des sourires, passer du temps avec eux, Sauf qu’il n’y a que mon ombre noir que je peux voir à travers mes yeux.

Une ombre d’un passé solitaire, Une ombre d’une personne négative, Que le seul positif qu’il trouve dans sa vie, N’est que la lumière de ses amis et sa famille.

La solitude m’emprisonne, D’être créative, Ou productive.

La solitude m’emprisonne, De contempler, Ou d’aimer.

La solitude m’emprisonne, Dans une spirale sans fin, Qui fais que je ne fais jamais rien.

J’attend juste chaque longue seconde, Qu’une personne me tend la main de la lumière, Pour passer un bon moment, me sortir de mon ombre.

Le temps d’un instant ou d’une vie, Chaque simple “connaissance” ou amie, Je ne pourrais jamais assez dire merci, De me libérer de ces états qui me nui.

Ce n’est pas pour rien. Que solitude, Rime avec torture.

Ce n’est pas pour rien. Qu’être accompagné, Rime avec sécurité.

#Poème

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